Les troubles du sommeil

« Nos nuits conditionnent nos journées ».

Nous passons près d’un tiers de notre vie à dormir, et ce n’est pas pour rien : un bon sommeil est important pour rester en forme et en bonne santé. Tout le monde peut en faire l’expérience : une mauvaise  nuit ou un sommeil trop court ou l’absence de sommeil (la « nuit blanche ») est la quasi-certitude d’un lendemain difficile (fatigue, difficulté de concentration, malaise, mauvaise humeur). Heureusement le corps humain est bien fait et une bonne nuit de récupération remet souvent les choses en place. Le problème, c’est quand les mauvaises nuits se répètent ou deviennent systématiques car notre corps et notre esprit nous font bien sentir que quelque chose ne va pas. 

Le sommeil est souvent considéré comme un état passif. Or, il n’en est rien : 

  • Lorsqu’on enregistre l’activité cérébrale au cours du sommeil, nous passons par différents stades de ralentissement ou d’accélération de l’activité cérébrale. 
  • Durant ces stades, le corps est tantôt en relâchement complet, tantôt en activité (mouvements des yeux, mouvements du corps, variations de la tension musculaire, variations de la tension artérielle, de la fréquence cardiaque et de la fréquence respiratoire).
  • La sécrétion de certaines hormones se fait durant le sommeil et jouent un rôle important pour l’immunité, la croissance et la multiplication cellulaire, le métabolisme osseux, la tension artérielle, le maintien du poids, …
  • Certains stades de sommeil sont nécessaires à notre capacité de concentration et de mémorisation et au maintien de notre humeur.

Une carence de sommeil ou un sommeil de mauvaise qualité, s’ils deviennent chroniques,  augmentent le risque de problèmes de santé. 

Le trouble du sommeil le plus fréquents est l’insomnie.

Elle touche une part importante de la population : l’insomnie chronique touche 10 % de la population adulte. Elle est la cause d’une consommation élevée de somnifères. Or, si les somnifères sont efficaces sur le court terme, ils créent souvent des problèmes à moyen et long terme par leur effet d’accoutumance et  de dépendance. De plus, s’ils favorisent l’endormissement, ils fragmentent par contre le sommeil qui n’est dès lors pas toujours récupérateur. Enfin, certains ont un effet résiduel la journée avec fatigue voire somnolence et difficultés de mémorisation et concentration. Il vaut dès lors toujours mieux les éviter.

Le trouble du sommeil le plus fréquents est l’insomnie.

Elle touche une part importante de la population : l’insomnie chronique touche 10 % de la population adulte. Elle est la cause d’une consommation élevée de somnifères. Or, si les somnifères sont efficaces sur le court terme, ils créent souvent des problèmes à moyen et long terme par leur effet d’accoutumance et  de dépendance. De plus, s’ils favorisent l’endormissement, ils fragmentent par contre le sommeil qui n’est dès lors pas toujours récupérateur. Enfin, certains ont un effet résiduel la journée avec fatigue voire somnolence et difficultés de mémorisation et concentration. Il vaut dès lors toujours mieux les éviter.

Viennent ensuite les troubles respiratoires du sommeil.

Le plus connu est l’apnée du sommeil qui touche 4% de la population adulte générale et qui augmente avec l’âge. Les personnes qui en souffrent ne se plaignent généralement pas de leur sommeil mais elles éprouvent par contre de la fatigue et même parfois un besoin de sommeil la journée, malgré des nuits de durée suffisante. C’est souvent leur entourage qui se plaint des ronflements parfois très intenses, entrecoupés de pauses respiratoires.

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